lundi 12 septembre 2011

mercredi 27 juillet 2011

JK. Keller - nouveau projet



"Realigning My Thoughts On Jasper Johns" by JK Keller is a great glitched work which is part of an ongoing exhibition at Fach & Asendorf Gallery where you can see the project presented in a 9 screen grid and adjust the volumes and video, see here.

JK Keller told us interesting info about the amazing distorted process;
"The original video is Simpsons season 10, episode 19, "Mom and Pop Art". I ripped all the frames, then used software to turn the ripped images into vectors. Then I processed the files through Illustrator using the default Alignment & Distribution tools (23 different combinations). The resulting files were then brought back together for the 23 final videos. " See more;

"With the audio, I used a similar process, making a spectrogram image of the audio from each cut in the episode. Then I applied a variety of processes to the image to mimic the alignment/distribution used. Then took the resulting image and turned it back into audio.
The project is intended to be shown as an installation of a 9 screen grid. Viewers would be able to adjust dials and switches to adjust volumes & video sources to create their own juxtapositions of the 23 videos."

"Interested in the incorrect use of default software tools and how they can be used to generate new forms, and the absurdity that results between default digital manipulation and purposeful manual influence." - JK Keller

The following video is meant as an introduction to the project.

[Triangulation.com]

merci google traduction, de nous expliquer en petit français pour les moins anglophones.

> "Le réalignement de mes réflexions sur Jasper Johns" par JK Keller estune grande œuvre glitched qui fait partie d'une exposition en cours àFach & Asendorf galerie où vous pouvez voir le projet présenté dans une grille 9 écran et ajuster le volume et la vidéo, voir ici.

JK Keller nous a dit d'info intéressantes sur le processus étonnantdéformée;
"La vidéo d'origine est Simpsons saison 10, épisode 19:" Maman et le Pop Art ". J'ai déchiré toutes les trames, puis utilisé un logiciel pour transformer les images déchirés dans des vecteurs. Puis j'ai traité les dossiers en utilisant Illustrator l'alignement par défaut et les outils de distribution . (23 combinaisons différentes) les fichiers résultants ont ensuite été ramenés ensemble pour le 23 vidéos finale »Voir plus.;
«Grâce à l'audio, j'ai utilisé un processus similaire, faisant une imagespectrogramme de l'audio à partir de chaque coupe dans l'épisode.Puis j'ai appliqué une variété de processus à l'image d'imiterl'alignement / distribution utilisée. Puis a pris l'image résultante et tourné c'est revenir en audio.
Le projet est destiné à être montré comme une installation d'une grille de 9 écran. Les téléspectateurs seraient en mesure d'ajuster des cadrans et des commutateurs d'ajuster les volumes et les sources vidéo pour créer leurs propres juxtapositions de 23 vidéos. "

»S'intéresse à l'utilisation incorrecte des outils logiciels par défaut et comment ils peuvent être utilisés pour générer de nouvelles formes, et l'absurdité qui résulte entre la manipulation numérique par défaut et l'influence manuelle délibérée." - JK Keller

La vidéo suivante est conçu comme une introduction au projet. <

lundi 20 juin 2011

Poésie collective




Poésie collective

Machine à écrire, Luth à deux cordes (Shell X-100)






















Ce projet in situ se compose en deux parties distinctes. La première sous forme d'installation d'une machine à écrire dans un lieu de passages réguliers (lieu de travail, école, gare etc...) ou le public est invité à écrire ce qu'il souhaite avec comme seul annotation : à toi de jouer, en début de page.
Au bout d'une semaine les pages sont réunit et forment la trame, la partition d'une performance sonore où le texte est lu dans l'espace accompagné du luth.
L'objectif étant de créer une poésie à plusieurs mains reflétant l'âme du lieu par ces occupants, mélanger l'espace privé de l'écriture fixé sur la papier et dans le temps, à celui de l'espace public à travers la performance d'une expérience vivante, sonore, à sens unique et sans détour possible dans le temps.